Bonjour,
je dirais qu il n est pas non plus oblige de vivre comme les autochtones ni de parler leur langue pour se sentir bien ici
Dans votre cas, évidement, il vous faudra comprendre la belle famille les usages et les coutumessans pour autant perdre vos repères et votre identité, votre caractère etc..cela demande une grande volonté et de la patience
Vous serez sans doute confronte a un choc culturel dans les premiers mois, mais sans aucun doute avec une grande ouverture d esprit, vous vous adapterez, il faut se faire violence parfois, apprécierez ou pas c est selon chacunet ses critères et sa capacité de s adapter, comme le dit Rene Claude.
Il faut de toute façon essayer et voir.
perso ma conclusion apres 2 ans localement, la vie locale est diamétralement opposée a ce que j ai connu jusque a présent, j apprécie d être ici au fur et a mesure, mais je ressens une énorme baisse intellectuelle, due au manque de communication et de vie socialeles principaux problèmes qui font dans mon esprit une confusion sans nom et une bataille permanente pour ne pas déprimer.
mes acquis se perdent, comme dirait l autre, "j ai le cul entre 2 chaises"!
Bon courage.
Bonjour Allspice,
Ce ne doit pas être agréable tous les jours, c'est bien certain, et je vous comprends parfaitement.
Il faut dire que la difficulté est pour vous que vous n'avez pas d'attaches avec ce pays (pas du tout une critique, que nenni,) mais il faut bien savoir que sans "obligation", même toute morale, il est ardu de vivre ici... -Je pense pouvoir dire que pour s'intégrer (tous les expats même mariés mixte, ne s'intègrent pas) car l'intégration, c'est vraiment une acception de beaucoup de choses, j'ai même envie de dire "de tout", même si certaines obligations trop rigides ou trop éloignées de nos coutumes occidentales sont quelquefois rejetées ensuite)
On peut rester très longtemps dans un pays et ne jamais revêtir la "robe" de ce pays : ça passe par la manière d'être, la manière de se rapprocher des autochtones, en abandonnant s'il le faut des idées bien ancrées dans nos habitudes et notre manière de vivre... - Je vois généralement à la première fois les candidats au rejet..... or, les Vietnamiens ne vous accueillent, "comme de la famille" comme ils le disent, qu'après un examen pointilleux..... - et encore faut-il modérer"comme de la famille", ce n'est pas le même sens que chez nous..- alors, il faut se respecter : accepter de se contorsionner pour ne pas les choquer, ne pas perdre non plus sa personnalité, mais se fondre dans la société vietnamienne... - et c'est à ce prix qu'on peut vivre très heureux ici... avec les expats bien sûr.... mais aussi avec les locaux.
Cordialement - Hoankiem