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Affrontements la frontière Thaïlande-Cambodge- Partage d'infos

Goodmorningthailand

THE STANDARD (fil Facebook)


MISE À JOUR : Un analyste australien des données satellitaires indique que le Cambodge est largement responsable de l’escalade du conflit frontalier entre la Thaïlande et le Cambodge.


Nathan Ruser, analyste de données satellitaires à l’Australian Strategic Policy Institute (ASPI), connu pour ses analyses de zones de conflit comme l’Ukraine et la Birmanie, a publié un message sur X accompagné d’une carte thermique mettant en évidence des données clés sur les combats en cours le long de la frontière entre la Thaïlande et le Cambodge.

Il a détaillé l’évolution de l’escalade des tensions avant les affrontements du 24 juillet entre la Thaïlande et le Cambodge.

D’après son analyse, la plupart des signes de renforcement militaire et de montée des tensions semblent provenir du côté cambodgien. Les forces militaires cambodgiennes avaient renforcé diverses positions bien avant l’incident du 28 mai et déployé rapidement des renforts stratégiques immédiatement après.

L’examen des données relatives à l’escalade par Ruser a révélé :


▪️ 33 événements d'escalade provoqués par le Cambodge

▪️ 14 événements d'escalade provoqués par la Thaïlande

▪️ 9 événements conjoints de désescalade

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Il a également souligné plusieurs événements clés de la chronologie :

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1. La construction et la fortification de l'avant-poste de Phomn Phrasitthi, près du temple de Preah Vihear. Cela démontre que des fortifications stratégiques et de première ligne étaient en cours de renforcement de part et d'autre de la frontière avant le 28 mai, et pas seulement à Chong Bok.

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2. Le déploiement rapide et intensif d'unités d'élite et stratégiques sur la ligne de front au lendemain des affrontements du 28 mai, notamment de chars, d'artillerie et de défense aérienne. Ces éléments suggèrent que le commandement cambodgien était probablement mieux préparé à une escalade des affrontements et a réagi immédiatement.

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3. L'occupation temporaire (90 minutes) de positions au Cambodge par une compagnie thaïlandaise (plus organisée et plus nombreuse qu'une patrouille égarée) le 19 juin, démontrant que l'escalade provenait de multiples côtés.

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4. Une patrouille cambodgienne plus importante a « bloqué » une patrouille thaïlandaise le 30 juin et a poursuivi sa patrouille sur ce que la Thaïlande prétendait être son territoire.

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5. L'ampleur des transferts importants de munitions vers la frontière depuis le Cambodge fin juin. Il serait fascinant de savoir quels préparatifs les troupes thaïlandaises effectuaient à l'époque, mais je l'ignore. Peut-être était-ce équivalent.

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6. L'affirmation selon laquelle le chef de la garde royale personnelle de Hun Sen commandait des troupes en première ligne.

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Il s'agissait déjà clairement d'une affaire menée par Hun Sen, pour des raisons personnelles (peu évidentes), ce qui renforce cette affirmation.

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Goodmorningthailand

INFO : L’armée thaïlandaise a publié vendredi soir un communiqué indiquant qu’elle se réservait le droit d’utiliser des armes à sous-munitions contre des cibles militaires cambodgiennes, la Thaïlande n’étant pas partie à la Convention interdisant leur utilisation, tout comme les États-Unis et la Russie.

Lire l’intégralité de la déclaration ici :

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L’armée royale thaïlandaise clarifie l’utilisation des armes à sous-munitions, affirmant que leur utilisation est envisagée uniquement pour renforcer les capacités contre des cibles militaires.


Le 25 juillet 2025, le général de division Winthai Suvaree, porte-parole de l’armée, a clarifié la déclaration du Cambodge concernant l’utilisation d’armes à sous-munitions par la partie thaïlandaise, affirmant que l’armée royale thaïlandaise considérerait leur utilisation comme nécessaire contre des cibles militaires afin de renforcer ses capacités de destruction. Lorsque le projectile principal touche la cible, les sous-munitions qu’il contient explosent en continu. Ces munitions ne sont pas des mines terrestres antipersonnel et n’ont aucun effet résiduel à long terme sur les civils après leur utilisation.


Concernant la Convention sur les armes à sous-munitions (CCM), qui interdit aux parties d'utiliser, de produire ou de stocker ce type d'armes, elle n'est pas contraignante pour la Thaïlande, celle-ci n'y étant pas partie, à l'instar de nombreux autres pays, tels que les États-Unis, la Russie et d'autres.


L'Armée royale thaïlandaise affirme que ses opérations militaires respectent le principe de proportionnalité, selon lequel les armes à sous-munitions seront utilisées uniquement pour renforcer les capacités de destruction explosive contre des cibles militaires.


Centre des relations publiques de l'Armée royale thaïlandaise, Équipe des porte-paroles de l'Armée, 25 juillet 2025 (fil Facebook)

Goodmorningthailand

PRACHATAI-La Thaïlande et le Cambodge sont entrés dans une deuxième journée d'échanges d'artillerie, le bilan des victimes continuant d'augmenter de part et d'autre. La communauté internationale a appelé à un cessez-le-feu, tandis que le Conseil de sécurité de l'ONU doit tenir une réunion privée et urgente sur les affrontements frontaliers aujourd'hui (25 juillet).


Vendredi 25 juillet, l'armée royale thaïlandaise  a signalé que les affrontements avaient débuté vers 4 heures du matin à Chong Bok et Phu Makhuea, à Ubon Ratchathani, ainsi qu'à Phanom Dong Rak, à Surin. Le rapport indiquait que la partie cambodgienne avait tiré sans interruption de l'artillerie lourde et des roquettes BM-21. Ce n'est qu'à 8 heures du matin que la partie thaïlandaise a riposté.


Selon le dernier bilan établi à 20h00, 13 civils ont été tués. Dix personnes ont été grièvement blessées, dix ont subi des blessures modérées et treize ont été légèrement blessées. Par ailleurs, au moins 130 000 personnes ont été déplacées dans les provinces de Surin, Ubon Ratchathani, Buriram et Sisaket en raison des affrontements en cours.


Entre-temps, six militaires thaïlandais ont été tués : sept ont été grièvement blessés, cinq ont subi des blessures modérées et trois ont subi des blessures légères.


Des tirs de roquettes BM-21 ont également endommagé des habitations civiles en trois points d'Ubon Ratchathani. Aucun décès ni blessure n'a été signalé. L'évacuation des personnes vivant près des zones frontalières est en cours.


Le personnel médical et les patients de 11 hôpitaux situés dans la zone d'attaque ont également été évacués, quatre hôpitaux ayant temporairement cessé leurs activités.


Dans la soirée, il a été rapporté que la loi martiale avait été déclarée dans sept districts de Chanthaburi et un district de la province de Trat.


L'escalade est le résultat du rappel par le Premier ministre thaïlandais par intérim de l'ambassadeur du pays au Cambodge mercredi (23 juillet) à la suite des blessures de cinq autres militaires thaïlandais par des mines terrestres le long de la frontière entre la Thaïlande et le Cambodge. 

Victimes au Cambodge


Selon  les médias cambodgiens , un  civil cambodgien a été tué et cinq autres blessés à Oddar Meanchey, dans la province de Preah Vihear. Environ 2 400 familles ont été évacuées des zones de conflit de la province.


Les personnes évacuées comprennent des résidents de 12 villages et de trois communes du district de Banteay Ampil, situés à proximité des zones d'affrontements armés entre les forces cambodgiennes et thaïlandaises autour du temple de Ta Moan, du temple de Ta Krabey et de Thma Daun.


Le porte-parole provincial d'Oddar Meanchey, Met Measpheakdey, a confirmé que  260 écoles de la province ont été fermées en raison de l'incursion thaïlandaise en cours.

Hun Sen et Hun Manet doivent être responsables de l'attaque contre des civils thaïlandais, déclare Phumtham


Le Premier ministre par intérim, Phumtham Wechayachai, a déclaré avoir rencontré le Premier ministre malaisien Anwar Ibrahim. Il a déclaré que ce dernier souhaitait trouver une solution pour mettre fin à la confrontation, et que la Thaïlande n'y avait pas fait objection, mais que le Cambodge devait d'abord accepter un cessez-le-feu, ajoutant que la Thaïlande avait tenté à plusieurs reprises d'engager le dialogue, mais que ces efforts avaient échoué.


Le Premier ministre par intérim a fermement condamné Hun Sen et a affirmé que le Premier ministre cambodgien Hun Manet doit être responsable des attaques contre des civils, en particulier de l'attaque contre une supérette dans une station-service et contre l'hôpital Phanom Dong Ruk.


Il a souligné qu'un dialogue ne pourrait pas avoir lieu si la partie cambodgienne lançait toujours une attaque contre la Thaïlande, et il était explicite que le Cambodge avait l'intention de violer les lois internationales.


Lors de son point de presse du soir, Phumtham a réitéré que malgré la retenue de la Thaïlande face aux provocations cambodgiennes, le Cambodge avait constamment choisi de recourir à la force. Les forces cambodgiennes ont lancé des attaques contre des hôpitaux et des installations civiles à plus de 20 kilomètres de la frontière.


En outre, le ministère des Affaires étrangères a coordonné avec les compagnies aériennes commerciales thaïlandaises l'organisation de vols spéciaux pour ramener les Thaïlandais chez eux en toute sécurité, notamment en fournissant des soins médicaux complets aux militaires blessés et en versant une indemnisation aux familles de ceux qui ont été tués.


« Je voudrais réitérer que cet incident n'est pas un conflit entre les peuples des deux pays, et qu'il ne s'agit pas d'une déclaration de guerre, mais plutôt d'affrontements le long de la frontière pour protéger la souveraineté et répondre de manière appropriée à un envahisseur », a déclaré Phumtham.

Le Conseil de sécurité de l'ONU doit tenir une réunion d'urgence


Après que Hun Manet a déposé une  demande officielle auprès du Conseil de sécurité de l'ONU, lui demandant de convoquer une réunion d'urgence pour faire face à l'agression thaïlandaise,  le Conseil de sécurité de l'ONU  tiendra aujourd'hui (25 juillet) une réunion d'urgence sur les affrontements frontaliers en cours.


Entre-temps, la Thaïlande a adressé une lettre au Conseil de sécurité de l'ONU, insistant sur le fait que le Cambodge a ouvert le feu en premier et qu'un grand nombre de civils thaïlandais ont été tués ou blessés. Le président du Conseil de sécurité de l'ONU est également prié de diffuser la lettre de la Thaïlande aux membres du Conseil.


Il a été rapporté que la Thaïlande enverrait Cherdchai Chaivaivid, ambassadeur auprès des Nations Unies, pour assister à la réunion.


Lors d'un point de presse, Nikorndej Balangura, porte-parole du ministre des Affaires étrangères, a déclaré aux médias qu'il était convaincu que les preuves du côté thaïlandais étaient fondées et a réaffirmé que la Thaïlande avait été attaquée en premier, ajoutant que la réponse du pays était proportionnée, visant à défendre sa souveraineté et à protéger son peuple.

Goodmorningthailand

De nouveaux combats ont éclaté le long de la frontière entre la Thaïlande et le Cambodge, dans la province de Surin, tôt dimanche matin (27 juillet), le Cambodge déclenchant des tirs d'artillerie qui se sont depuis étendus à plusieurs zones.


Selon le correspondant de NBT, Seksom Jeangjit, les affrontements ont débuté entre 4 h 30 et 4 h 40 du matin, des tirs provenant du Cambodge en direction de la région de Prasat Ta Kwai. Les combats se sont ensuite propagés vers le col de Chong Jom, sous les tirs des deux camps.


Vers 5 h 30 du matin, les forces cambodgiennes auraient utilisé des armes lourdes similaires à des roquettes BM-21, provoquant une riposte à l'arme lourde de la Thaïlande. À 6 h 40, un obus d'artillerie cambodgien a touché une habitation civile à Surin, provoquant un incendie.  Aucune victime n'a été signalée dans l'immédiat, mais les autorités ne sont pas en mesure d'évaluer pleinement les dégâts dus aux bombardements intermittents et continus, qui étaient encore audibles à 7 heures du matin.

Goodmorningthailand

Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a confirmé l'escalade du conflit armé le long de la frontière entre la Thaïlande et le Cambodge, faisant de nombreuses victimes. Lors d'une interview en direct avec Al Jazeera, il a souligné l'engagement de la Thaïlande à défendre sa souveraineté tout en réaffirmant sa préférence pour une résolution pacifique et bilatérale.


Nikorndej Balankura, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, a fait le point sur la situation à Al Jazeera. Il a déclaré qu'au moment de la rédaction de ce rapport, les combats avaient fait 14 morts côté thaïlandais. Parmi les victimes figurent 13 civils et un militaire. Parmi les civils tués figuraient deux enfants.


Nikorndej a également souligné que, bien que l'intensité des combats de samedi ait été légèrement inférieure à celle des deux jours précédents, la situation restait tendue, la Thaïlande continuant de défendre son intégrité territoriale.


Interrogé sur les communications diplomatiques, le porte-parole a expliqué que la Thaïlande avait tenté de nouer le dialogue avec le Cambodge bien avant la récente escalade.  Il a déclaré que la Thaïlande avait toujours insisté sur le recours aux mécanismes bilatéraux existants pour résoudre pacifiquement les différends. Nikorndej a indiqué que ces efforts n'avaient pas reçu de réponse positive de la part du Cambodge. Il a affirmé que, contrairement à la Thaïlande, le Cambodge avait déclenché la confrontation armée en ouvrant le feu sur une unité de l'armée thaïlandaise.


Le ministère se concentre également sur l'impact humanitaire du conflit. Nikorndej a détaillé les efforts déployés par le gouvernement pour assurer la sécurité et le bien-être des citoyens thaïlandais vivant près de la frontière. Il a confirmé que des abris avaient été mis en place pour les personnes déplacées. Des vivres et des unités médicales mobiles avaient également été déployées pour aider les victimes, soulignant que de nombreuses femmes et enfants figuraient parmi les blessés.


Concernant la possibilité d'une médiation par une tierce partie, Nikorndej a qualifié cette démarche de « prématurée ». Il a réaffirmé que la Thaïlande estimait que la question devait d'abord être abordée par le biais de canaux bilatéraux sous-utilisés, déclarant : « Nos portes ont toujours été ouvertes aux négociations. »


Il a toutefois indiqué que si une médiation s'avérait nécessaire, un membre de la communauté de l'ASEAN serait le choix le plus approprié.  Le porte-parole a confirmé que la Malaisie, en sa qualité de présidente actuelle de l'ASEAN, avait déjà contacté le gouvernement thaïlandais. Il a indiqué que le vice-Premier ministre thaïlandais et le Premier ministre malaisien avaient eu des entretiens téléphoniques afin d'explorer les pistes de résolution possibles.

Goodmorningthailand

Le Premier ministre cambodgien Hun Manet a publié dimanche vers 2 heures du matin le message suivant après une conversation téléphonique avec le président américain Donald Trump, affirmant que le Cambodge souhaitait un cessez-le-feu immédiat.

Lire la déclaration complète ci-dessous :

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Dans la nuit du samedi 26 juillet 2025, j'ai eu un entretien téléphonique avec l'honorable Donald Trump, président des États-Unis, au sujet des affrontements armés le long de la frontière entre le Cambodge et la Thaïlande.


Au cours de cet entretien, le président des États-Unis a exprimé son souhait d'éviter toute guerre ou tout combat susceptible de faire de nombreux morts et blessés des deux côtés, soldats et civils. C'est pourquoi il s'est toujours efforcé de jouer un rôle de médiateur et a réussi à mettre fin aux conflits dans de nombreux pays du monde.


Concernant les combats entre les forces armées cambodgiennes et thaïlandaises, l'honorable président Donald Trump a également souhaité un cessez-le-feu immédiat et la paix entre les deux pays.


En réponse, j'ai clairement indiqué à l'honorable président Donald Trump que le Cambodge acceptait la proposition d'un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel entre les deux forces armées.  J'avais d'ailleurs déjà exprimé cette position à Son Excellence Anwar Ibrahim, Premier ministre de Malaisie et actuel président tournant de l'ASEAN, le 24 juillet 2025.


Après s'être entretenu avec Son Excellence Phumtham Wechayachai, Premier ministre par intérim de Thaïlande, le Président Donald Trump m'a fait part d'une nouvelle positive : la partie thaïlandaise avait également accepté sa proposition de cessez-le-feu immédiat. C'est une bonne nouvelle pour les soldats et les populations des deux pays.


J'espère que la partie thaïlandaise ne changera pas de position comme elle l'a fait avec l'effort de coordination du Premier ministre Anwar Ibrahim le 24 juillet.


J'ai chargé Son Excellence Prak Sokhonn, Vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, de discuter avec l'Honorable Marco Rubio, Secrétaire d'État américain, et de collaborer avec le ministre thaïlandais des Affaires étrangères pour mettre rapidement en œuvre les principes convenus afin de mettre fin aux morts et aux blessés parmi les soldats et les civils des deux camps.


Je tiens à remercier l'honorable président Donald Trump pour son initiative et sa médiation visant à parvenir à un cessez-le-feu immédiat et à la paix entre le Cambodge et la Thaïlande. Cet excellent résultat contribuera véritablement à protéger la vie de nombreux soldats et civils qui auraient pu être tués ou blessés lors des combats, et permettra à des centaines de milliers de réfugiés de retourner dans leurs villages et de reprendre leur vie quotidienne en toute sécurité et dans la paix.

Goodmorningthailand

KHAOSOD: INFO IMPORTANTE : La 2e région militaire avertit le public que le Cambodge a ordonné le retrait de ses troupes, anticipant un barrage de missiles PHL-03 sur plusieurs provinces thaïlandaises.


Le 27 juillet, la 2e région militaire a émis un avertissement indiquant que le Cambodge avait ordonné un retrait et qu'il était prévu de tirer simultanément plusieurs missiles PHL-03 sur une longue distance, pouvant atteindre 130 kilomètres. Le rayon d'action couvrira l'ensemble des provinces d'Ubon Ratchathani, Surin, Sisaket et Buriram.


Et certaines parties de Yasothon (districts de Maha Chana Chai et Kho Wang), Roi Et (districts de Muang Suang, Suwannaphum, Phon Sai, Phanom Phrai, Nong Hi, Kaset Wisai et Pathum Rat), Maha Sarakham (district de Phayakkhaphum Phisai) et Nakhon Ratchasima (plusieurs districts du sud).

krisscemoi

Compte tenu des enjeux financiers concernant le tourisme.......cela va rapidement s'arrêter.....

Goodmorningthailand

@krisscemoi

ommuniqué Ambassade de France en Thaïlande.

➡️. Des affrontements armés sont en cours, et concernent l’ensemble de la zone frontalière avec le Cambodge. Les déplacements dans ces zones (jusqu’à 50 km de la frontière) sont fortement déconseillés. Les ressortissants français qui s’y trouveraient sont invités à s’en éloigner dans les meilleurs délais. Ils peuvent le cas échéant se signaler auprès de l’Ambassade de France à Bangkok (admin-francais.bangkok-amba@diplomatie.gouv.fr).

Les ressortissants français sont invités à se tenir informés auprès des autorités locales et à se conformer aux consignes que celles-ci pourraient donner.

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krisscemoi

@Goodmorningthailand

L'ambassade de France est dans son rôle.....sortir le parapluie au cas oü.......

laurentbkk21

Mon épouse part demain pour Sisaket voir son Papa qui récupère après son séjour a l’hôpital. Heureusement, son village est a 70 km de la frontière, pour le moment pas de soucis. Mais elle a des amies dont les parents ont être évacues . Esperons que cela se calme rapidement.

Goodmorningthailand

@Goodmorningthailand
L'ambassade de France est dans son rôle.....sortir le parapluie au cas oü....... - @krisscemoi


Je connais, je connais... Diverses crises vécues ici, démontrant son inefficacité totale. Encore des mots, toujours des mots...

Goodmorningthailand

Mon épouse part demain pour Sisaket voir son Papa qui récupère après son séjour a l’hôpital. Heureusement, son village est a 70 km de la frontière, pour le moment pas de soucis. Mais elle a des amies dont les parents ont être évacues . Esperons que cela se calme rapidement. - @laurentbkk21


Mme la 1ère ministre suspendue mais toujours ministre de la Culture (assez révélateur des us et coutumes de ce pays !) était en visite à Surin. Comme quoi ça ne doit pas être dangereux dès qu'on s'éloigne un peu des zones les plus risquées. Avec tout le respect pour les victimes déjà faites, évidemment.

Crozes-Hermitage

Je ne vois pas trop ce que l'ambassade pouvait dire ou faire de plus.🤔

krisscemoi

Je ne vois pas trop ce que l'ambassade pouvait dire ou faire de plus.🤔 - @Crozes-Hermitage


Rien........effectivement.............l'ambassade est dans son rôle qui ne sert a rien.......

bigjak06

Je ne vois pas trop ce que l'ambassade pouvait dire ou faire de plus.🤔 - @Crozes-Hermitage

+1

Goodmorningthailand

Thaïlande — Cambodge : cinq points sur la géopolitique d’une frontière explosive 


Goodmorningthailand

Je ne vois pas trop ce que l'ambassade pouvait dire ou faire de plus.🤔 - @Crozes-Hermitage


Rien. Comme à son habitude. Vous voyez, ce n'est pas le peu de pouvoir d'une Ambassade qui me dérange, ce sont les gesticulations et grandes déclarations de nos gouvernants en cas de crise, alors que sur le terrain, les gens  sont abandonnés à leur sort et ne peuvent compter que sur eux-mêmes (voir par exemple la situation des touristes français à Suvarnabhumi après l'annulation massive des vols due à un volcan islandais (2010?)

Goodmorningthailand

BANGKOK POST : Les dirigeants thaïlandais et cambodgiens ont convenu de mettre fin aux hostilités dans leur conflit frontalier le plus meurtrier depuis plus de dix ans, suite aux efforts des États-Unis et des puissances régionales en faveur d'une résolution diplomatique. Le Premier ministre thaïlandais par intérim, Phumtham Wechayachai, et le Premier ministre cambodgien, Hun Manet, ont eu des entretiens lundi en Malaisie, accueillis par le Premier ministre Anwar Ibrahim. M. Anwar a facilité le dialogue en sa qualité de président de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (ANASE), Washington et Pékin ayant dépêché des émissaires.

Pilouthai

A priori c'est terminé à partir de minuit...

el escondido

Tonton Xi leur a dit de se calmer ???????

Pascale Braun-Cullaz

@Pilouthai

🤞

Crozes-Hermitage

Je ne vois pas trop ce que l'ambassade pouvait dire ou faire de plus.🤔 - @Crozes-Hermitage

Rien. Comme à son habitude. Vous voyez, ce n'est pas le peu de pouvoir d'une Ambassade qui me dérange, ce sont les gesticulations et grandes déclarations de nos gouvernants en cas de crise, alors que sur le terrain, les gens sont abandonnés à leur sort et ne peuvent compter que sur eux-mêmes (voir par exemple la situation des touristes français à Suvarnabhumi après l'annulation massive des vols due à un volcan islandais (2010?) - @Goodmorningthailand

  Pas d'accord. Je trouve que l'ambassade est présente et efficace quand la situation est vraiment dangereuse pour la communauté çe. Crise du covid par exemple. Dans les pays en guerre elle organise des vols d'évacuations.

Ce n'est pas à l'ambassade de gérer les annulations de vols des compagnies.

L'assistanat à ses limites.😀

Goodmorningthailand

KHAOSOD : L’armée thaïlandaise condamne le Cambodge pour violation de l’accord de cessez-le-feu et atteinte à la confiance

29 juillet 2025

08h20

L’armée condamne le Cambodge pour violation de l’accord de cessez-le-feu, affirmant que le Cambodge détruit intentionnellement le système de confiance, tandis que la Thaïlande respecte strictement ses obligations, mais doit se défendre et riposter.

Le 29 juillet 2025 à 7h30, au quartier général de l’armée royale thaïlandaise, le général de division Winthai Suvaree, porte-parole de l’armée royale thaïlandaise, a évoqué la violation de l’accord de cessez-le-feu par le Cambodge. Il a déclaré que les gouvernements thaïlandais et cambodgien étaient parvenus à un accord mutuel pour cesser les combats militaires le long de la frontière, à compter de minuit le 28 juillet 2025, afin de créer un climat de paix, de réduire les tensions et de promouvoir la coopération entre les pays voisins.

L'armée condamne le Cambodge pour violation de l'accord de cessez-le-feu, tandis que la Thaïlande respecte strictement ses obligations, mais doit se défendre et riposter de manière appropriée. L'armée insiste sur le fait que, dans certaines zones, les combats se sont poursuivis jusqu'à 5 h 30.


Il est toutefois extrêmement regrettable qu'à l'heure prévue, la partie thaïlandaise ait détecté des attaques des forces cambodgiennes sur plusieurs points du territoire thaïlandais. Ceci est considéré comme une violation intentionnelle de l'accord, visant à détruire la confiance mutuelle. Par conséquent, l'armée condamne de tels actes.


La partie thaïlandaise sera contrainte de prendre des mesures de représailles appropriées en vertu de son droit légitime à la légitime défense. La partie thaïlandaise confirme qu'elle n'utilise pas la force militaire pour envahir, mais pour empêcher toute intrusion et protéger la souveraineté nationale conformément aux règles internationales.


Le général de division Winthai a également déclaré que la réunion avec les chefs des unités militaires dans la zone avait initialement été déplacée à 10 h, au lieu de 7 h initialement prévue.

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Goodmorningthailand

L'assistanat à ses limites.😀 - @Crozes-Hermitage


Ah ! Le fameux assistanat... Je vais le répéter : je ne reproche rien à l'Ambassade, mais à ceux qui nous gouvernaient en France pendant ces crises. Etiez-vous présent à Bangkok durant celle-ci ? Ou durant celle des Chemises Rouges ? Ou durant celle des Chemises Jaunes ?  Avez-vous eu des échanges avec l'Ambassade pendant ces crises ? Entendiez-vous les déclarations du gouvernement français ? Avez-vous eu l'opportunité de comparer les déclarations et les actes ? Je n'évoquerai pas le dramatique tsunami à Phuket, je n'étais pas présent dans le pays. Quant à la gestion du Covid, certes nous avons bénéficié ici de vaccinations gratuites et très bien organisées. Une goutte dans le scandale sanitaire qui a eu lieu en France. Et tous les responsables ont été blanchis. Cela dit, depuis l'affaire du sang contaminé, je n'attends plus rien de notre justice non plus.

Ne répondez pas à ces questions, c'est juste une formulation et je n'attends aucune réponse.